
Retour au blog de linconnue-stelaire
miroir-des-sentiments, Posté le dimanche 02 juillet 2017 11:36
aujourd'hui je vous reviens avec un article un peut spéciale . Je vous en dit pas plus et je vous laisse le découvrir des à présent . Bisous bonne soirée !!
http://miroir-des-sentiments.skyrock.com/3297021098-Il-suffit-d-ecouter-les-femmes.html
miroir-des-sentiments, Posté le samedi 03 juin 2017 21:24
toujours aussi génial ton blog j'adore vraiment bonne continuation
angelilie, Posté le vendredi 28 avril 2017 08:53
beau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. une belle découverte et un enchantement.N'hésitez pas à venir visiter mon blog en lien ici : http://mondefantasia.over-blog.com/
au plaisir
Martine, Posté le lundi 10 avril 2017 10:48
Salut ! Je trouve que tu as eu une très bonne idée de faire ce blog. Il y a tellement de paroles importantes dans certaines chansons auxquelles on ne fait pas toujours attention.
actu-rap-francais-2010, Posté le samedi 18 mars 2017 13:17
"Né le matin, majeur à midi, vieux dès vingt heures" Oxmo Puccino
actu-rap-francais-2010, Posté le samedi 18 mars 2017 13:16
" Le mauvais temps n'est pas le froid ou le gris
C'est ce qu'on s'était juré, qu'a force, on oublie "
Oxmo Puccino, 365 jours.
OwantedO, Posté le samedi 18 mars 2017 06:51
Super ton blog ! passe sur le mien, il est consacré au rap français aussi. Je suis de retour après quelques années et un peu de soutien fait toujours plaisir. Bonne continuation.
HarryhaundPM, Posté le jeudi 19 janvier 2017 00:30
HarryhaundPM
Visiteur, Posté le mercredi 18 janvier 2017 07:22
Kenis
THEME : Le Rap.
PROBLEMATIQUE : Peut-on prendre la défense du Rap en 2017 ?
Janvier 2017.
Les Sources .
Des heures d’écoutes d’ albums variés de groupes de rap.
Des discussions passionnées avec des amateurs de musique, des historiens , des personnes pour le rap et d’autres qui sont contre.
Des sorties pour voir des spectacles de rap souvent improvisés.
Des lectures sur des articles Internet ayant comme thème le rap.
Biographie du rappeur Lacrim sur Wikipedia.
La biographie de Victor Hugo sur Wikipedia.
La biographie d’Alfred Dreyfuss sur Wikipedia.
Les meilleures citations de Victor Hugo.
Dans un album de rap en 2016, on trouve ce refrain: « J’ai de la culture, j’ai ouvert mon cahier, j’veux aimer, à la mort, à la vie. » Beaucoup de préjugés et d’incompréhensions circulent aujourd’hui à propos du rap. Mon thème d’étude porte sur le rap. Dans notre entourage , à la maison et même ici à l’école, le rap est souvent associé à des images de violence, de drogue et de peur . Il y a des personnes agacées par cette forme de musique , et d’autres qui sont fascinées et passionnées. Mais n’y a-t-il pas autant d’avis différents sur le rap qu’il y a de groupes de rap? Le verbe « to rap » signifie bavarder en anglais. Au début , le rap est considéré comme une forme d’expression bavarde car elle raconte la vie de tous les jours , entre les joies et les malheurs. Cette nouvelle forme d’expression originaire de la boue des banlieues noire américaines très défavorisées a été mise à l’écart. Pourtant , en 50 ans de création , le rap a évolué.
La problématique sur ce thème portera sur la défense du Rap . Comment l’ image du rap a-t-elle évolué ? Peut-on défendre un parler-vrai au risque de la violence ?Pourquoi Victor Hugo défendrait aussi ces créations nées dans la boue et qui se transforment en or ?
Dans une première partie,nous verrons tout d’abord quels sont les préjugés qui enferment le rap dans des clichés assez négatifs . Puis nous verrons que l’histoire et l’image du rap ont évolué. L’enjeu est alors de démontrer en quoi le rap n’est pas une sous-culture de barbares.
I/ Les préjugés négatifs sur le rap sont-ils issus de l’Histoire et de la géographie ?
L’histoire du rap permet de trouver une continuité dans sa perception et rappelle une géographie qui oppose les banlieues défavorisées contre le centre ville . On retrouve aussi cette opposition par exemple à Mulhouse.
Le rap prend naissance aux Etats-Unis dans des quartiers pauvres des années 1970. Le rap décrit des scènes de la vie quotidienne . Dans ces ghettos noirs, il y a la faim, la drogue, la peur et la voix râcle à cause de la peur. Les paroles utilisées sont réalistes. Ces paroles semblent difficiles à écouter pour des personnes installées confortablement et bien au chaud. Le rap est beaucoup critiqué et dévalorisé à cause de cette violence. Donc avant de se poser la question « comment prendre la défense du rap ? » , on peut se poser la question : « doit-on encourager le rap ? »J’imagine très bien par exemple qu’une douce et gentille institutrice peut être indignée par les barbarismes ( quand on parle mal) dans certaines expressions. Pourtant, le rap est une histoire sérieuse. Stéphanie Molinari est une historienne spécialiste du phénomène du rap . L’ historienne rapologue ( rapologie : étude du rap) met en évidence le lien entre le lieu de création de cette forme de culture et son public. Le lieu de création est souvent très défavorisé en matière d’éducation , de santé et de protection de l’enfance.Le public du rap français est encore (probablement pour peu de temps) jeune, masculin, de milieu populaire et habitant les « zones urbaines ».
Le lieu détermine-il l’avenir ? Le rap est-il casé trop facilement dans un monde à part ? Nous pouvons prendre l’exemple de Paris et de sa banlieue .Le 18e arrondissement de Paris est une mosaïque de quartiers populaires au nord du centre ville parisien : Barbès, Marcadet-Poissonniers, rue de la Goutte d'Or, Porte de la Chapelle, Clignancourt… À la fin des années 1980, cet arrondissement a vu la naissance du groupe Assassin composé à l'époque de Rockin' Squat, Solo, DJ Clyde et Doctor L. Le rap français étant très jeune à cette époque, le groupe lui offre une conscience, un esprit. La scène Hip-Hop du 18e arrondissement est marquée par son désir d’underground : les rappeurs ne signent que rarement sur des majors. Des rappeurs, engagés politiquement, originaires de cet arrondissement de Paris incluent notamment : Assassin, Kalash, Rockin' Squat, Scred Connexion, Flynt, et Hugo TSR.Mais le rap se diffuse et progresse vite auprès des classes moyennes et supérieures, des femmes, à l’extérieur des zones urbaines sensibles, etc. Mes discutions avec menés des amateurs de rap montrent qu’ils considèrent le rap comme une musique plurielle. Mais les « non amateurs » continuent d’ avoir une image plutôt négative du rap. Peu instruits, les jeunes s’expriment souvent mal . Pourtant le rap est souvent le seul moyen d’expression pour ces rappeurs qui doivent crier pour se faire entendre. En effet , depuis l’origine du rap, il s’agit de créer des « punchline » , littéralement une phrase choc.
Les thèmes principaux se retrouvent autour des produits de consommation et des symboles du pouvoir, ainsi que des femmes, des voitures de luxe ou des armes à feu. Les rappeurs jouent sur ces fantasmes et se construisent des personnages en général sans lien avec leur vraie personnalité et leur quotidien réel. Des critiques ont été faites contre ces textes qualifiés de sexistes, matérialistes ou violents. Quelles en sont les conséquences?
Le rap a évolué depuis ses origines. Quelles sont les conséquences de la diffusion du rap?
On oppose souvent un rap indépendant (authentique, rebelle, intelligent) et un rap compromis avec le show-biz et les grands médias. Mais le rap reste dans les images partagées par tous le « fond sonore des banlieues », la musique de l’attachement au quartier. Pourtant ce lieu très créatif provoque l’intérêt des intellectuels. Ils y voient les conditions d’un renouvellement artistique, notamment sous l’angle des textes les plus poétiques. Mais quand les rappeurs veulent « changer de veste » (un costume en velours pour Booba, au lieu d’un classique survêtement), on les soupçonne de changer de camp, ou alors d’être les « bons élèves de la classe immigrée ». Lorsqu’une fille fait irruption dans le monde du rap (Diam’s) on lui reproche de changer de rôle de genre, de se faire « mec ». Une nouvelle presse créée par les anciens rockers (Les Inrockuptibles) juge ce qui est bon et moins bon dans le rap sur des critères de « paroles intelligentes » ou de valeurs en rapport avec l’argent, le sexe, la religion… Mais n’est-ce pas de cette manière que le magazine Télérama jugeait le rock dans les années 1980 ?
Selon le philosophe Alain Milon « le rappeur impose un rythme, une force et une violence physique à ses mots. C’est le symbole de l'existence d'un dérèglement urbain ». Sous la plume de ce philosophe, le rap utilise des paroles à double-sens .
II/ La vitalité positive du rap.
Le rap a beaucoup évolué au cours du temps . En 2017, nous vivons dans un monde très commercial. Or la matière même du rap est la poésie. Aujourd’hui j’ai l’impression que le rap perd en explosivité , mais il y gagne en vitalité.
Pour comprendre les textes des rappeurs , on devrait d’abord comprendre les rappeurs. Les rappeurs ne donnent pas toujours les clés pour comprendre leur « bruit » . Le souhait du rappeur c’est de faire réfléchir. C’est ce qu’un historien appelle « le modèle télégraphique de la communication ».Le premier album de rap en français, sorti en 1990, ré-utilise l’image du rappeur américain (grosse chaîne, grosse casquette) avec celle du « jeune de banlieue » pour commercialiser son produit .
Au début des années 1990, la France soutient le rap en tant que voie d’expression de la souffrance des banlieues .Les rappeurs se sont coulés dans ce cadre contraint, pour tenter de s’y faire une place et de le modifier à leur tour.
la société française a ainsi produit un objet nommé rap, tout en le maintenant dans une position à l’écart. Lorsque nous parlons de rap, nous croyons parler d’un monde à part, mais le rap est incontournable aujourd’hui.
Il est important pour un rappeur de posséder une "street crédibilité" c'est-à-dire, une possession de la rue, comme un tigre dans la jungle.
La street crédibilité permet au rappeur de maintenir sa carrière.La rue possède donc un symbole honorifique, cultivé par le marketing .
Le clash fait partie de la culture rap. Il doit servir à régler les différents des rappeurs.
Je crois que dans les débats , on préfère qualifier une idée d’extrême-droite ou de quelque chose en «phobe», comme islamophobe, homophobe ou antisémite plutôt que de la discuter. Y a-t-il une rupture entre les élites et la société ? Les élites sont les politiques mais aussi les médias, les gens qui sont facilement autorisés à publier, partager leur opinion, dans un journal ou sur un plateau de télévision. Mais ils sont souvent en désaccord avec la population. Les Français pensent de plus en plus qu’on ne peut pas tout dire, qu’il y a une espèce de «lutte des classes culturelle» entre des Français qui veulent que les choses soient dites. La parole vraie du rap est alors nécessaire . Mais on a le sentiment que les élites refusent la réalité et qu’il y a des sujets qu’on évite, qu’on n’ose même pas évoquer médiatiquement. Or à Mulhouse par exemple, il y a une culture de l’accusation des injustices. Le mulhousien Albert Dreyfuss , un militaire français ,a été défendu par Emile Zola contre ceux qui lui reprochaient le fait d’être juif.
Le rap est un véritable style musical.Les rythmes de la musique du rap sont très lents, inspirés de la musique classique du xviie siècle. Généralement, le tempo avoisine les 90-105 pulsations par minute. La clef du succès du rap est sa musique.
« Je danse le mia » devient le titre phare de la tournée d’IAM qui connaît un triomphe au printemps 1994. Cela conduit les marseillais à être sacrés, l’année suivante, groupe de l’année aux 10e « Victoires de la musique ». Le succès du « Mia » a une autre conséquence. Il permet pour la première fois au rap français d’avoir des chiffres de vente similaires à ceux des « tubes » de variétés et de passer du public populaire des cités à une audience plus vaste, qui mêle toutes les classes sociales. À quoi est dû ce succès ? Au matraquage des radios et des télévisions ? « Je danse le mia » est parmi les premières chansons nostalgiques des années 1980. Par son sujet, l’ambiance des discothèques marseillaises de cette décennie, elle évoque en fait la jeunesse de toute une génération. Mais la musique constitue également le pilier du succès du « Mia » en raison de sa construction subtile. « Je danse le mia » échappe en effet à tous les repères musicaux connus. Ce n’est ni une chanson de danse, ni une chanson de rap habituelle . Le thème majeur est la fuite du temps et la perte de la jeunesse. La chanson est composée de quatrains dont les vers n’ont jamais la même importance (de 7 à 17 pieds), On y trouve une langue ordinaire, des expressions très poétiques (« la soirée vacille ») et la présence d’un langage familier (« les plus classes », « ça craignait », « je t’explose », etc...). Ces formes argotiques se trouvent aussi dans la syntaxe (« le samedi d’après on revenait tellement qu’on s’emmerdait ») et l’enchaînement rapide de verbes (« je te bousille tu te rhabilles et moi je danse le Mia »). Tout le texte est construit sur le regard ironique jeté par IAM sur des êtres sans profondeur psychologique, réduits à des silhouettes porteuses de marques pour se manifester (« Ray Ban, survêtements Tacchini, pare soleil Pioneer »). Deux temps différents sont utilisés : l’imparfait et le présent dans le refrain, comme si « je danse le mia » signifiait en réalité « j’évoque le mia ». La relation au temps se retrouve ainsi au c½ur du texte.
Si le rap est insoumission et insolence, c’est bien à l’égard des rites, des codes classiques et de toutes les formes d’obstacles qui viennent entraver la liberté créatrice. Le contenu et la motivation des textes importent peu Ce qui définit le rap c’est la musicalité de sa forme d’expression scandé-saccadé mais aussi et surtout la volonté de s’amuser avec les règles du français scolaire.
Mais enfin n’oublions pas que le freestyle, par sa forme même, nécessite plusieurs facultés : une richesse lexicale, une vitalité de la mémoire, une maîtrise de la syntaxe (nécessaire aussi pour la détourner) et surtout une intuition du tempo et un sens de la musique qui, quand ils sont maîtrisés, font de ce magma confus de mots et de musique une harmonie inédite absolument formidable : un style libre. Comme quoi, le spontané se prépare et l’intuition se travaille. D’ailleurs, c’est une des autres grandes questions de la poésie : est-ce le fruit d’un dur labeur ou celui d’une inspiration des muses ? Mais ça, c’est un autre débat. Et les muses du rap, je n’en parle même pas. Vous imaginez, vous, des muses qui font du rap dans votre tête ? Bref, moi je m’égare quand je pars en freestyle…
Le rap peut affoler le feu d’une foule, provoquer le rire des moqueries ou renverser sévèrement l’adversaire.Dans tous les cas, le rap est sous pression. Tout dépend de l’inspiration, du feeling, de l’intuition et de ce petit truc impalpable qui peut filer sous la langue à tout moment. Au fond, c’est la forme pure et brute du rap. Un rap qui se vit plus qu’il ne se dit. Un rap qui se crée : ici et maintenant.
Peut-on trouver des arguments pour aimer et faire aimer le rap ?Le rap est avant tout un art de la performance. D’ailleurs, les nombreux rapprochements que l’on peut faire entre le hip-hop et le sport sont très nombreux . Regardez-moi ;-) … Peu importe qui tu es et d’où tu viens : fais ce que tu sais faire et prouve à tout le monde que tu es le meilleur. Le sport, comme le rap, est un art de la performance et du dépassement de soi .Il faut dire que d’ordinaire les véritables improvisations se font assez rares et les textes sont, souvent, préalablement écrits. Mais où sont passés les vrais freestyles ? Noyée dans les vidéos préparées pendant des heures pour feindre le spontané, la réelle improvisation semble se perdre peu à peu.
Le vrai freestyle, c’est l’intelligence de l’instant, la vigilance de l’instinct comme le tigre. C’est la capacité à rapper un texte qui se crée à mesure qu’il se dit. C’est un pari de l’esprit qui mise alors toute son ½uvre sur la fantasque intuition, laissant de côté les limites qu’impose la raison. Le rap, c’est le mouvement incessant, le perpétuel renouvellement des formes, l’éternel mouvance des mots et d’une parole qu’on ne peut ni figer ni fixer. C’est pour cela que le rap constitue un objet d’étude tout à fait intéressant si l’on veut réfléchir sur le rap et sur ce qu’il représente dans l’histoire de l’art et du travail sur la langue française.
CONCLUSION .
Avec ce thème, nous avons vu qu’il y a différentes façons de comprendre le rap. Pour certains, le rap est une ironie musicale. Personnellement, j’ai une vision plus poétique et responsable du rap . Pour moi, le rap n’est pas nocif pour la santé artistique Pourtant on peut trouver dans certaines chansons de Renaud ou de Boris Vian par exemple des expressions qui mériteraient d’être rapprochés de certains rap. La fascination pour le rap, au-delà de la violence, prouve bien qu’il s’agit d’une culture vivante. En France, le rap est né dans les quartiers où vivaient les personnages de Victor Hugo. Certains rappeurs ressemblent à celles et ceux qui ont connu des barricades, des erreurs, mais qui luttent pour la Liberté, l’Egalité et la fraternité.
A la fin de cette recherche, je souhaite donner la parole à Victor Hugo en citant une de ses punchline :
« L’idée, trempée dans la poésie, prend soudain quelque chose de plus tranchant et de plus éclatant. C’est le fer qui devient acier."
loweek, Posté le mercredi 21 décembre 2016 00:48
<>Le RAP it'S dead non?
alzulia-myr, Posté le lundi 19 décembre 2016 12:57
Tout le texte de cette chanson mérite d'être retenu tellement il est vrai, bien écrit et beau. Soprano. ♥
Delfina-Julio51, Posté le vendredi 09 décembre 2016 14:32
Offre de prêt entre particuliers au taux de 2 % en 72 Heures
Bonsoir ,
Je dispose d'un capital qui servira à octroyer des prêts particuliers à court et long terme allant de 1000 ¤ a 3.000.000 ¤ à toute personne sérieuse voulant de ce prêt. 2% d'intérêt l'an selon la somme prêté, car étant particulier, je ne veux pas violer la loi sur l'usure. Vous pouvez rembourser sur 3 à 25 ans maximum selon la somme prêtée. C'est à vous de voir pour les mensualités. Je ne demande qu'une reconnaissance de dette certifiée manuscrite et aussi quelques pièces à fournir.
Vous êtes fiché interdit bancaire et vous n'avez pas la faveur des banques, ou mieux vous avez un projet et besoin de financement, un mauvais dossier de crédit ou besoin d'argent pour payer des factures, fonds à investir sur les entreprises.
Alors si vous avez besoin de crédit n'hésitez pas à me contacter pour en savoir plus sur mes conditions. Veuillez me contacter directement par courrier :
Mail : DELFINA.Julio@hotmail.com
Mail : DELFINA.Julio@hotmail.com
PS: personnes non sérieux s'abstenir
miroir-des-sentiments, Posté le samedi 19 novembre 2016 16:27
toujours aussi sympathique ton blog j'adore
magic-rabbit, Posté le vendredi 04 novembre 2016 16:25
Hello ! J'ai fais un petit tour sur ton blog, je suis nouveau ici et j'aimerais faire connaissance avec la sphère Skyblog ! :-)
Je suis issu d'un projet de film d'animation français entièrement PARTICIPATIF réalisé sous un logiciel libre par des passionnés ! Et pour que ce projet vive, j'ai besoin de me faire connaître, alors j'espère avoir ta visite prochainement ! ;-)
Bonne soirée,
Magic Rabbit
miroir-des-sentiments, Posté le mercredi 28 septembre 2016 20:16
toujours aussi sympathique ton blog j'adore
anarchie59, Posté le mardi 31 octobre 2017 14:17
super